Le samedi 10 février 2024, nous nous sommes rendus à Paris pour une longue promenade d’hiver du Trocadéro à l’Île de la Cité !
 
 
 
21 élèves et 7 adultes étaient présents (Mme Avy, M. Barrera, Mme Duhazé, M. Hamitouche, M. Laouedj et moi-même, M. Potschke, enseignants, ainsi que M. Borne, parent).
 
Nous avons emprunté la ligne B du RER, puis la ligne 6 du métropolitain pour arriver vers midi sur la place du Trocadéro. Là, nous avons pris un premier temps libre pour découvrir la majestueuse vue qui s’offre sur la Dame de fer.
Nous avons ensuite rejoint le parvis de la Tour Eiffel sous une pluie fine, et avons pique-niqué, poussé par les estomacs gargouillant, tout juste en dessous.
 
Vers 13h30, nous avons repris notre marche le long du Champ-de-Mars pour atteindre le jardin des Invalides. Nous avons pu visiter le majestueux Dôme des Invalides, que l’on pouvait voir depuis le début de la promenade et qui intriguait les élèves, sous lequel nous avons découvert le tombeau de Napoléon !
 
Par la suite, nous avons eu la grande chance de découvrir le Musée de l’Armée, dans l’Hôtel national des Invalides. Alors que nous ne devions n’y rester que vingt minutes, les élèves se sont pris au jeu et nous sommes restés plus d’une heure dans l’exposition consacrée à la Première et à la Seconde Guerres mondiales, où se trouvaient des objets et des véhicules rares, imposants et impressionnants !
 
 
 
 
 
 
Après cette visite, la longue promenade s’est poursuivie jusqu’à la Seine, que nous avons cette fois longé rive gauche (d’ordinaire, nos promenades se terminent rive droite : il fallait bien varier !). Nous sommes passés devant l’Assemblée nationale, la Monnaie de Paris et le Musée d’Orsay, avant d’emprunter après Saint-Michel le Pont au Double pour rejoindre l’Île de la Cité, et prendre devant Notre-Dame le RER B qui devait nous permettre de rentrer à Mitry. En dépit d’une interruption du trafic qui nous aura poussé à mettre en place un taxi-parents, les élèves sont rentrés sereinement (bien que tardivement) chez eux. Mitry-Mory n’a pas usurpé son surnom : c’est vraiment une « ville solidaire » !